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Blacky

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Forum fondé par Lauly et P'tit Biscuit. Graphisme et codage réalisés par Felicis. Forum ouvert depuis le 28.02.2019. Forum optimisé pour google chrome.

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Une vie à Séoul, des histoires qui s'entrecroisent, des liens qui se forment et se déforment. C'est dans cette ville que des histoires s'écrivent sans en avoir l'air, des histoires qui pourraient tout à fait voler la vedette aux dramas affichés sur vos téléviseurs. Votre vie n'est pas pas si différente que celle de l’acteur des plateaux. Déciderez-vous d'obtenir le premier rôle de votre existence ?
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SOS est un forum CITY et privé à petite communauté intimiste. Aucun minimum de mots demandés par rp. Merci de prendre en compte le règlement pour toutes les petites spécifités de la vie de vos bébés au cours de leur vol à bord du jet de la Sos Company Airlines

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There is only when you are here, that I am whole. ft. Azarov Ivyn
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Mar 9 Juil - 14:10

There is only when you are here, that I am whole.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image][Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] // L'ordinateur portable ouvert, la musique à fond dans la chambre fait trembler les murs de l'appartement. Aujourd'hui, Alena est en congés. Personne pour lui demander de diminuer le son. Une bouteille en main, la jeune femme danse attendant le seul homme qui a de l'appartenance pour elle. Juste un moment voler, un moment où cette culture étrange ne vient pas empiéter sur la vie des deux Azarov. Cacher le mal être dans cette société, ne pas pouvoir hurler dans la rue. Porter ce qu'elle veut aussi... Alena regrette la Russie, regrette Moscou. Mais Ivyn ne veut pas rentrer, enfin, elle le pense vu que son cadet n'a jamais parlé d'un retour chez eux. Et puis après tout, leur famille est ici, dans ce pays dont les gens se ressemblent, dans ce pays où elle est jugée par son apparence étrange.

Juste un t-shirt et une petite culotte comme seul vêtement, un look que la Azarova affectionne, celui qui annonce un repos mérité, un look qu'elle doit cacher à la vue des coréens si puritains pour elle. Elle qui portait des tenues courtes avant. Elle qui était fière de pouvoir mettre sa poitrine naissante à l'honneur à l'école, auprès de ses amis, doit pratiquement cacher sa silhouette aux traits européens pour qu'on arrête de la montrer du doigt dans la rue. Alors aujourd'hui, elle est elle. Une russe. Jouant avec le stéréotype de la vodka. Son corps se dandine, bouge sur la musique, sa main tenant la bouteille qu'elle amène à sa bouche.
Un coup d'œil sur le radio réveil lui apprend que Ivyn va bientôt arriver. Son amour, son petit frère chéri. Une semaine sans vraiment le voir, lui qui est sa source de bien être. Un petit moment dans leur monde, loin du regard des autres, juste lui et elle. Alena prend une dernière gorgée avant de se changer. Pas qu'il ne l'a jamais vu dans cette accoutrement, loin de là mais elle a une idée pour embêter son petit frère.

Un débardeur et un Jean's. La voilà de nouveau dansant sur de la pop russe cette fois ci. La bouteille poser sur le bureau dans sa chambre, la jeune femme lève sa jambe gauche jusqu'à la tête. Avant, c'était une chose habituelle de faire ce geste. S'étirer, danser, glisser et sauter avec des patins aux pieds maintenant... Il ne lui reste plus rien sauf le regard de Ivyn quand elle se comporte comme avant. Son regard s'arrête sur le miroir au dessus du lit. La poupée russe déteste le reflet qu'il lui renvoi. Des traits tirés, des yeux trop rond cerner de cerne et un sourire inexistant. Elle monte sur son lit, s'approche du miroir. Et comme chaque jour depuis son arrivé en Corée du Sud, elle s'entraîne à sourire. Pas pour elle mais pour celui qui va arriver d'une minute à l'autre. Ses index tirant sur le coin de ses lèvres. Elle ne quitte pas le reflet du regard. Il faut une petite pointe de folie dans ses yeux sombres, il faut qu'il pense qu'elle est heureuse.

Les minutes passent, Alena ne bouge pas, continuant les mêmes gestes. Essayant de se rappeler de ce qui la rend heureuse. Jusqu'à des bruits de pas se font entendre dans les escaliers derrière le mur de sa chambre. Étonnée, elle remarque seulement maintenant que la musique s'est arrêtée. Mais très vite, elle saute du lit, se précipite vers la porte d'entrée. D'un coup sec, la jeune femme l'œuvre avant d'attraper l'espèce d'homme devant elle dans ses bras et le tire à l'intérieur. Tu es en retard ! Pas de moue mignonne comme une coréenne. Alena a déjà essayé. A part être ridicule et trouver ça ridicule, puis ça ne fonctionne absolument pas sur Ivyn. Elle le pousse d'une main en direction du divan. Plaquant sa main contre le torse du cadet. Et dès qu'il perd l'équilibre, s'installe en califourchon sur lui. Ivyn Azavor qu'as tu à dire pour ta défense ? comme par magie, Alena oublie ses tracas dès qu'ils sont tout les deux. Elle a l'impression d'être de retour à Moscou. Elle est redevenue souriante prête à tout pour entendre le rire de son malen'kiy brat, ses doigts en position de chatouille même si le petit n'aime pas ça du tout.


@Avaroz Ivyn
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Ven 12 Juil - 0:32



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saleté de métro. ou plutôt, saleté de travaux qui avaient eut lieu sur sa ligne de métro. et bien sûr personne ne l’avait prévenu. non, parce que de faire de son appartement jusqu’à celui de sa sœur à pied, c’est un peu long. très long même. en plus, il n’était même pas parti à l’heure de chez lui- disons qu’il avait débattu un long moment avec un idiot dans son jeu vidéo et qu’avec sa mentalité de russe, il ne pouvait pas laisser l’autre amerloque s’en sortir comme ça. donc ça lui avait fait perdre du temps ; c’était un débat bien débile en plus…

dans tous les cas, il allait finir en retard et il n’aimait pas trop finir en retard. surtout quand c’était pour aller voir sa sœur. là, ça l’embêtait énormément. c’était un peu les seuls moments où il pouvait se sentir à l’aise dans ce pays trop différent de ses racines et ça lui faisait vraiment du bien, alors ivyn n’aimait pas trop que ces moments soient écourtés à cause d’un problème de trafic. c’était un peu comme mettre la tête hors de l’eau après une plongée sous l’océan qui n’en finissait pas. après, il était loin de détester ses colocataires, hein, loin de là. en vérité, il s’était attaché à eux (bon, sauf honey, mais honey c’était pas pareil, d’accord ?), mais sa sœur ça restait un niveau au-dessus. un niveau vraiment, vraiment au-dessus. alena, c’était un peu le boss final du bien-être pour lui. il n’avait plus à parler une langue qu’il connaissait sans vraiment comprendre, il n’avait plus à s’emmêler avec des formules de politesses bizarres et il n’avait plus à écrire avec ces lignes toutes droites et tous ces ronds que les coréens s’étaient amusés à inventer. enfin, c’était tout de même la culture de sa maman, maman qu’il aimait beaucoup, donc il n’avait rien contre, mais c’était tout de même à mille lieux de comment il avait été élevé et ça le perturberait pour toujours.

ivyn râlait dans sa barbe absolument inexistante, les écouteurs à fond dans les oreilles avec du russe qui sortait des oreillettes, il zigzaguait entre les gens dans le rue, fixant plus le trottoir que les personnes autour de lui. il avançait rapidement, voulant limiter un peu la casse et ne pas arriver si en retard que ça à l’appartement de sa sœur. le jeune homme allait vraiment être salé toute la journée, à propos de cette histoire de métro en travaux. s’il avait pu, il aurait envoyé un de ses beaux regards noirs caractéristiques aux ouvriers, mais une barrière le lui avait empêché. tant pis, il se plaindrait à alena en arrivant. après, est-ce qu’il avait envie de faire le ronchon devant sa grande-sœur adorée alors qu’ils étaient censés passer du bon moment ensemble, dans la joie et la bonne humeur ? pas vraiment… oh, au pire, il y aurait certainement des belles grosses bouteilles de vodka dans là-bas, il noiera sa peine sur ses transports en commun dans le liquide fort.

d’un geste, il ouvrit la porte de la maison où la jeune femme qu’il devait retrouver reposait avant de la fermer et de monter les escaliers quatre-à-quatre. ivyn eut à peine le temps de remettre correctement le bas de son t-shirt dans son jean qu’il se fit attraper et tirer vers l’intérieur sans même vraiment comprendre ce qui lui arrivait. « ah ! » le jeune homme avait laissé échapper un léger bruit de surprise, puis il s’était retrouvé le postérieur sur le divan, sa sœur sur ses genoux, face à lui. il n’était même plus étonné. « pour ma défense ? » il se mit à rire un peu nerveusement. effectivement, il était en retard. « figure-toi que j’ai une très bonne excuse ! » il la voyait déjà faire. elle allait le chatouiller, il le savait. il avait un pressentiment. mais malgré tout, il restait les bras le long du corps et les mains posées sur le canapé. « j’ai dû faire le chemin à pied ! parce que le métro il marchait pas… enfin- il y avait des travaux… » un autre rire nerveux. il était déjà en train de prier dans sa tête pour qu’alena ne commence pas à le chatouiller. tout mais pas les chatouilles. « ok- puis heu… j’ai encore débattu avec un américain sur un jeu parce qu’il m’énervait… » c’était peut-être plus pour ça qu’à cause du métro qu’il était en retard, d’ailleurs, hm.

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Ven 12 Juil - 14:53

There is only when you are here, that I am whole.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image][Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] // Les bruits de pas dans l'escalier font comprendre à Alena que son frère est enfin arrivé. Ni une, ni deux. La jeune femme saute de son lit pour se précipiter dans le salon ouvrir la porte d'entrée. Pas de bonjour, pas de question indiscrète. Une vrai russe qui est un rien en colère contre les longues minutes de retard du plus jeune, presque une heure pour être exacte. Même si Ivyn est plus grand qu'elle, et a plus de force qu'elle. Lena connait les points faibles de son cadet. Elle sait comment faire pour qu'il se sente fautif pour un rien. Et elle ne lui laisse pas le temps de s'excuser qu'il se retrouve installer dans le divan avec elle sur ses genoux. Un sourire moqueur sur le coin des lèvres, ses yeux montrant une lueur amusée. Elle le menace si il ne lui donne pas la raison de son retard.

Un comportement habituel pour eux deux, si proche et en même temps commençant à s'éloigner doucement, commençant à avoir chacun leur propre vie après tout. Elle sait Alena qu'il n'est plus le petit garçon qui cherchait sa main quand ils étaient enfants. Il n'est plus le petit garçon qui sautillait dans les gradins de la patinoire de Moscou. Même plus l'adolescent qui lui a dit qu'il allait tout faire pour lui rendre le sourire. Non, Ivyn est un homme même si à ses yeux, il sera toujours ce petit garçon qui venait se coucher près d'elle après un cauchemars.

Les explications arrivent. Lena approche ses doigts des côtes du cadet. Elle sait qu'il déteste être chatouiller. Mais n'est-ce pas là le droit de faire tout ce qu'il déteste car elle est l'aînée ? Comme si ça l'avait un jour dérangé d'arrêter de l'embêter, le chercher. Puis, le rire d'Ivyn est une espèce de drogue pour elle. Si il rigole, si il la supplie d'arrêter, c'est qu'il va bien. Et c'est tout ce qu'il lui faut pour être heureuse. " Venir à pied ? " Ses mains tombent le long de son corps. Elle lance un regard intrigué. Y a au moins une heure de marche. Impossible, il aurait pu prendre un taxi, il l'a déjà fait. Ou simplement l'appeler pour lui dire qu'il y avait un soucis avec le métro. Elle cherche dans le regard ressemblant au sien, la véritable raison. Et là, enfin, il lui avoue la vérité.

" Tu..." Comment dire. Ils sont russes. Bien entendu si y a possibilité de se disputer avec des américains et leur faire comprendre qu'ils ont torts. Mais, elle passe après une dispute pour un stupide jeu vidéo. " Dis que je suis ton maître. " sa voix est menaçante, alors que ses doigts se mettent à chatouiller ce gosse qui n'a aucun respect pour elle. Franchement, elle passe après un stupide jeu vidéo. " Supplie-moi de te relâcher. " Deux gosses, voilà ce qu'ils sont. Deux gosses, deux étrangers récupérant leurs manies. " Tu as eu le dernier mot au moins ?" Demande-t-elle quand elle le libère de sa torture. " Sinon, pas de boisson pour toi. " Alena se relève pour se diriger vers la cuisine. " Après tout, un bébé, sa ne boit pas de vodka !" Comme si Ivyn n'en a jamais bu. Elle lui lance un sourire tout en posant une bouteille sur la table de la cuisine.


@Avaroz Ivyn
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Lun 29 Juil - 15:20



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bien. d’accord. oui, il avait pris une heure. une looongue heure pour arriver. oui, oui. il aurait pu prendre un taxi, plutôt, c’est vrai. pourquoi est-ce qu’il s’était amusé à venir à pied, cet idiot ? le garçon avait certainement littéralement oublié son cerveau à l’appartement. l’américain avait du le lui voler pendant leur engueulade. est-ce que c’était vraiment une raison pour qu’ivyn finisse coincé sur le canapé dès son arrivée devant la porte ? pour sa sœur, oui. très certainement. mais il avait l’habitude. c’était leur façon de communiquer, leur façon d’être. les deux avaient toujours eu une relation comme celle-ci et ce n’était pas prêt de changer. et tant mieux. enfin, en tout cas, ivyn ne s’imaginait pas leur relation changer d’un seul centimètre, même s’ils avaient grandi et que peut-être, peut-être qu’à cause de ça, ils commençaient à s’éloigner sans vraiment le vouloir. c’est vrai, ils ne déjeunaient plus ensemble le matin, n’allaient plus à l’école ensemble, lena n’était plus là à ses côtés tous les jours pour l’aider à faire ses devoirs et lui, il ne pouvait plus aller s’assoir dans les gradins de la patinoire pour lui lancer des « aller grande-sœur », tout sourire. sauf que papa il était plus là, la russie n’était plus là et ils n’habitaient plus ensemble. c’était bien le temps que ça avait duré et malheureusement, maintenant, c’était plus ou moins fini.

les mains de sa sœur retombe le long de son corps ; bon, il a l’air sauvé des chatouilles, pour le moment ? elle f ait une tête intriguée et ivyn sait directement à quoi elle pense. il rigole un peu nerveusement. « heu— oui, bah… j’y ai pas pensé… ? » il n’y avait vraiment pas pensé. « mon… mon maître ? et puis quoi enc— » il crie de surprise, les doigts de sa sœur étant venu se loger sur ses côtes et il aime pas ça. enfin, il aime pas ça, mais que quand il le dit. en vérité, il y a son rire qui retentit dans la pièce et il a du mal à s’arrêter. le garçon se débat, il essaye de sortir de l’emprise de sa sœur, la poussant légèrement en arrière mais pas assez pour réellement la dégager. « okay- okay ! pardon ! je le- je le ferais plus, désolé, lâches-moi ! » il continue de rire, fortement. il va jouer son jeu, ça l’empêchera de décéder à cause de ses bronches en carton. « heeh— maître ! je t’en supplie, a-arrête ! » ça fait mal de le dire, mais il aimerait éviter de s’étouffer aussi.

son corps se laisse tomber sur le côté, sur le canapé, quand sa sœur le lâche. il respire fortement et regarde fixement le plafond, le garçon essayant de reprendre son souffle, la main sur le thorax. il est vivant. « j’ai— ouais… le dernier mot… » en vérité, il avait surtout gueuler un bon coup en russe, des bonnes insultes, à la tête de l’amérlock, et il avait rage quit. bon, tant mieux, hein. il soupire un coup et se remet assis sur le canapé, sa respiration de nouveau en l’état. « comment ça pas de boisson ? heh- non ! » ivyn se lève et commence à marcher vers sa sœur, la suivant, voulant bien mettre sa main sur la bouteille, lui aussi. « je suis plus un bébé, lena. ma vodka, je la bois. » il avait commencé gamin, en plus. c’était comme ça, en russie, l’alcool ça commençait tôt. le garçon se rapproche de la table de la cuisine où la jeune femme regarde son frère avec un sourire et la bouteille à la main. ivyn attrape le conteneur en verre aussi, essayant de la tirer un peu vers lui. « j’ai marché une bonne heure jusqu’ici, t’as pas intérêt à me priver de ça. » le garçon hausse un sourcil. « tu ferais pas ça, hein. » il rigole un coup. « pas à moi ? » il fait la moue, une espèce de tête mignonne, d’aegyo. chose qui ne marche ni sur lui, ni sur sa sœur, il espérait juste que ça allait la faire rire un minimum.

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Dim 11 Aoû - 20:11



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there is only when you are here, that i am whole. -- @"azarova ivyn"

a genoux sur son frère, chose totalement logique quand on les connait. La menace est lancée. non mais franchement, il mériterait des baffes. les doigts d'alena glisse sur les côtes du plus jeune. elle le fixe, lui demandant de supplier. une tactique qui a toujours fonctionné depuis qu'ils sont enfants, même ivyn a une tête en plus qu'elle, il restera toujours le petit garçon qui lui tenait la main le matin pour se rendre à l'école et qui hurlait dans les gradins durant ses compétitions. donc l'entendre dire qu'il s'est disputé avec un amerloc et que c'est la raison du retard, elle se venge. d'autres se seraient fait taper, mais il est son petit frère d'amour. elle le chatouille, le sent se tortiller et y a le son du rire résonne à ses oreilles, un sourire satisfait étire ses lèvres. pas méchante avec lui, elle le fixe sachant qu'il peut avoir un soucis respiratoire assez vite. puis enfin, il l'appelle par le titre qu'elle attend. idiot. elle renifle amuser en le relâchant.

puis les questions fusent. merde car il était prit dans sa conversation avec un idiot outre atlantique, il l'a oublié. et y a la fierté russe en jeu. elle se laisse, le toise du regard, souriant en trouvant sa punition. les bébés boivent pas. genre, ils en ont de ce liquide qu'ils affectionnent tout les deux dans leur biberons. pour eux, c'est logique de boire, une journée sans, y a un soucis. pas à se rendre malade. juste un verre ou deux ou comme le programme le voulait aujourd'hui, boire à s'endormir dans un coin de l'appartement. mais vu qu'il est en retard.

elle lui lance un regard, tourne la tête vers lui, rigole. tu seras toujours un bébé pour moi. elle rigole, impossible de ne pas rire en le voyant se comporter comme quand ils étaient gosses. la bouteille sur la table, elle le fait exprès de le tenir, haussant un sourcil en le voyant essayer de l'avoir. si tu as soif, y a de l'eau. un signe en direction du robinet de la cuisine, un regard rieur. mon droi... sa phrase meurt en le voyant, un aegyo. elle lâche la bouteille, se retourne pour éclater de rire.

arrête ! une ordre. quoi que ça lui va bien à lui, elle serait presque boudeuse. elle a essayé de s'entrainer tellement de fois pour ne plus être considérée comme l'étrangère au lycée. et lui, bah il a un peu plus les traits asiatiques qu'elle. tu as l'air d'un idiot. soupirant, elle pousse la bouteille vers lui avant d'en prendre une autre. ne refais plus jamais ça, sinon je te tue. et elle en serait capable en plus.

s'installant sur le tabouret, les verres devant eux. elle leur serre à chacun une bonne rasade. santé. un cul sec, une grimace. ça fait du bien par où sa passe. ils m'ont demandé quand on comptait aller les voir. bon, de passe elle voulait pas en parler. la russie, moscou, c'est loin maintenant pour eux. je leur ai dit que tu n'étais pas encore devenue milliardaire. n'est-ce pas ivyn qui a dit à tout ses amis qu'il allait devenir milliardaire pour que jamais leur mère et elle n'est à travaillé. ça te dirai qu'un jour on y retourne ? elle devrait pas poer ce genre de question. il aurait voulu, ils seraient retournés dans leur pays, car la corée n'est pas leur pays, depuis bien longtemps. tu vas faire ton service militaire où ? ici ou là bas ? bien entendu alena qui pose la question que tout les hommes détestent, le service militaire. enfin, tu vas être dispenser. elle lui sourit, resserre un autre verre. allez y a un carton de vingt bouteille qui les attend après tout.

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