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Forum fondé par Lauly et P'tit Biscuit. Graphisme et codage réalisés par Felicis. Forum ouvert depuis le 28.02.2019. Forum optimisé pour google chrome.

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Une vie à Séoul, des histoires qui s'entrecroisent, des liens qui se forment et se déforment. C'est dans cette ville que des histoires s'écrivent sans en avoir l'air, des histoires qui pourraient tout à fait voler la vedette aux dramas affichés sur vos téléviseurs. Votre vie n'est pas pas si différente que celle de l’acteur des plateaux. Déciderez-vous d'obtenir le premier rôle de votre existence ?
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SOS est un forum CITY et privé à petite communauté intimiste. Aucun minimum de mots demandés par rp. Merci de prendre en compte le règlement pour toutes les petites spécifités de la vie de vos bébés au cours de leur vol à bord du jet de la Sos Company Airlines

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(Warning) Sineul - oh my!
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Lun 19 Aoû - 22:19

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Sin & Haneul heart

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ~ « Très bien. Madame Kang est une écervelée qui n’attache d’importance qu’aux histoires d’amour bidon. Vous n’aurez qu’à lui dresser un tableau tragique avec Hana et elle devrait s’occuper de ton cas. » Tableau tragique hein ? « Hn, je sais. » Hana en a parlé sans même le savoir au fond. Il regarde le sol quelques secondes. Tout lui dire hein ? Tout lui dire…

« … Tu aurais très bien pu utiliser un faux nom… Remarque, c’est peu plausible vu la scène que tu as fait pour avoir des papiers à ton nom. » Il allait presque rire à cette remarque. Un faux nom ? Il en a un pour les passes. Mais c’est tout. Non. Il veut être Zhang Sin. Il veut être reconnu malgré ses origines et il est assez têtu et travailleur pour y arriver. Le sommet l’attend, il le sait. Mais si Haneul veut vraiment la preuve qu’il tient à lui et qu’il lui fait confiance, alors, il doit se livrer sur, au fond, ce qui est sa plus grande part d’ombre. Personne ne peut comprendre comme il a été détruit de retrouver Wei Xi pendu ainsi dans leur chambre. Personne. Le pire, c’est que son corps était encore chaud, pas encore raide. Il avait vraiment le sentiment de pouvoir le sauver. Vraiment…

« … Ce n’est pas ta faute. » Il ne peut l’entendre et il serre même sa mâchoire pour se retenir de rétorquer quoi que ce soit. « Et aussi tragique soit cette histoire, il n’y a qu’une personne à blâmer et c’est ce Wei, que tu tiens en si haute estime. C’était un faible et tu ne peux pas passer le reste de ta vie à t’en vouloir pour les agissements d’un homme qui visiblement, n’avait pas ta ténacité. » Non, non, il n’a pas le droit de dire ça. Il faut du courage pour se tuer. Il faut un désespoir immense pour se dire que c’est le dernier choix qu’il reste. Wei n’était pas faible. Wei était un ange dans un monde de requin. Wei, Cami, ses sœurs, ils sont peut-être tout ce qui l’empêche de devenir comme Haneul au fond. Grâce à eux, il reste encore humain. Il en a besoin. « Je sais très bien que ce n’est pas ce que tu veux entendre... Mais c’est tout ce que j’ai à t’offrir. Et si tu deviens aussi fragile un jour, je te piétinerai sans une once de remords, on le sait tous les deux. »  Son regard sombre se pose alors sur Haneul et il le regarde intensément. « Je vais y aller, j’ai changé d’avis. »

Ravalant ses larmes et ses émotions, il le laisse se lever avant de fixer leurs reflets dans la télévision. « C’est moi qui vais te piétiner Haneul. » Il redresse alors la tête fièrement et le regarde enfin. « Je ne resterai pas un second choix, l’homme de l’ombre ou la petite tête intelligente qu’on balade à son bon vouloir. » Il reste un ambitieux. « Je ne veux pas ton poste. La justice ne m’intéresse pas. » Vraiment pas. « Je ne pourrai pas être ministre avant une bonne vingtaine d’années, s’ils acceptent qu’en épousant une coréenne, je suis d’assez bonne foi. Par contre l’ambassade... » Il a toujours visé l’ambassade. « Je finirai par y arriver, et je serai ton égal. » Il se redresse pour le regarder dans les yeux. « Et comme ça au moins, dans notre intimité, tu arrêteras de fuir ou de chercher à me contrôler et me rabaisser. » il continue de le regarder intensément. « Kang me mange dans la main, il m’a presque proposé un poste de directeur de campagne grâce à Hana. » Il ne va pas nier qu’elle y est pour beaucoup. « Ce n’est que le début. » Vraiment. « J’y arriverai... » C’est une promesse pour lui-même. « Et une dernière chose ! » Il vient se coller à son corps pour laisser sa bouche à un centimètre de la sienne. « Je ne suis pas… faible. » Jamais.

Doucement, il lui vole un baiser avant d’aller à la cuisine faire bouillir de l’eau, se demandant s’il va entendre la porte claquer ou non.

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Im Haneul
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Im Haneul
Ven 23 Aoû - 20:09

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Sin & Haneul heart

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ~ Ce n’est un fait secret pour personne que le politicien manque – voir est dépourvu – de compassion. Les émotions humaines et leurs tourments, leurs complexités, ça lui échappe aussi brutalement que les désirs et les faiblesses des autres lui étaient évidents. Peut-être est-ce une façon de contrebalancer sa trop grande propension à être calculateur, d’équilibrer le jeu de domination, que de le briser des talents pour sournois de manipulation psychologique. Il fonctionne par menace, par violence, comme si son organisme entier était déterminé à recracher à la gueule du monde toute la haine et le dégoût qu’il peut avoir envers lui-même alors la douceur, la compassion, il ne sait comment en user, on ne lui en jamais démontré… et franchement, il n’a pas trop cherché à comprendre. Alors quand le jeune chinois lui expose une partie vulnérable et fragile de sa personne, il se contente de garder le silence et de l’écouter sans bouger. Ciel, il respire à peine, franchement mal à l’aise devant pareille confidence. Chaque mot le fracasse et il doit se faire violence pour ne pas secouer son cadet, pour ne pas calomnier cet abruti de défunt qui semble si cher à son cœur. Parce que la vérité, c’est qu’il ne ressent que de la rage, une rage écarlate, brutale, violente, qui lui tords les tripes et le pousse à haïr avec passion le dénommé Wei.

Parce que quel que soit le désespoir qui a dû le pousser à s’enlever la vie, à périr de sa propre main, il ne peut s’empêcher de le trouver lâche, égoïste, de lui en vouloir d’avoir consciemment choisis la voie facile. Il faut beaucoup de courage pour crever, mais aux yeux du politicien, il en faut d’avantage pour tenir tête à cette chienne de vie, pour s’en sortir, pour se pavaner tête haute en dépit du nombre de fois où l’on vous rabaisse, et même si le combat est perdu d’avance… Et plus viscérale, pathologique que la colère qui gronde en son âme, il y a cette mesquine rancœur envers un mort, celle d’avoir laissé son chaton si vulnérable, si brisé, celle d’avoir indéniablement marqué son âme et son cœur d’une lésion tellement profonde qu’elle ne serait jamais cicatrisée. Et ça l’horrifie, de réaliser qu’il n’est pas du tout impartial quand il est question du chinois. Au moins, il aurait fermé sa gueule un moment, plutôt que de le couper ou de l’insulter, c’est le plus qu’il pouvait lui offrir en terme d’efforts…Que ça soit dit, l’intention était de le consoler, et le résultat, un cuisant échec vu la façon dont son attaché de presse s’est permis de le remettre à sa place. S’il a d’abord accusé le début des hostilités d’un « Pardon? » au fil des mots prononcés par le plus jeune, il ne peut empêcher son visage d’ordinaire si froid d’afficher ce sourire en coin, chieur, incroyablement rare et au moins aussi ravageur. « » Il ne dit rien, se presse les lèvres ensemble, au bord du fou rire. C’est que son regard le trahis, il en est un peu trop fier, de son petit félin ambitieux, à chaque fois qu’il ose, qu’il se permet de démontrer son côté combattant, Haneul, il est un peu trop attiré, envouté. Il réprime un ricanement, le toise de ses iris si sombres, son ton est moqueur, ironique, alors qu’il lui balance un amusé « Mon égal? Tu m’en vois déçu. J’imaginais au moins que tu aspirais à me surpasser… après tout à un certain moment de ta vie, ça sera facile, je serai six pieds sous terre. » Et ce qu’il ne dit pas, c’est que ça sera plus rapide qu’il n’y croit…

Plus le jeunot parle, et plus il peut sentir une vague de désir lui tordre l’estomac, mais il demeure de marbre, il l’observe, son sourire d’autant plus chiant – et pourtant étrangement doux – alors qu’il ose demander à ce qu’ils soient des égaux … « … C’est assez euphorique comme fantasme ... » Oui bon, ne pas fuir est quelque chose d’impensable à ses yeux, ce n’est pas tant le chinois, qu’il redoute, qu’il évite, c’est ce désir brutal, cuisant, profond qu’il ressent envers lui, cette attirance tellement incohérente qu’elle l’abruti, bordel de merde, il eut envie de le consoler il y a trois minutes! Il le laisse approcher, ne fait ni un mouvement pour l’accueillir, ni un pour le repousser, il se contente de l’écouter, avec cette histoire des Kang. Au fond, ça ne l’étonne pas, cette racaille a une fâcheuse manie à lui piquer ses meilleurs éléments. Et puis… objectivement parlant, c’est une bonne opportunité… Ses neurones s’activent à une vitesse grand V, déjà, il envisage le remplacer, le pousser à prendre ce boulot, et il s’exaspère lui-même d’avoir son futur à cœur. En fait, il n’est ramené à lui-même qu’en sentant les lèvres de son cadet contre les siennes, promesse, menace, il soupire, et le dévisage alors qu’il s’éloigne, pris d’une envie égale de le retenir et de s’enfuir. Sin, c’est un peu comme un soleil dans son univers terne, une touche d’humanité qu’il n’a jamais connu… et à trop s’y frotter, il s’y brûlera les ailes, il le sait. Il observe la porte, le canapé, calculant son prochain acte avec tout le savoir-faire d’un homme obsessif.

C’est que cette démonstration de force, elle lui a retourné le corps et l’esprit, elle a éveillé une pulsion presque bestiale, une envie inhumaine de se jeter sur lui, et lui faire répéter ses provocations une à une. Parce qu’Haneul, il se voit dans ce gamin, son ambition, son caractère merdique, tout. Il finit par soupirer, attrape sa tasse de café vite et le rejoint à la cuisine. Il la dépose sur le comptoir, dans un « Tu as finis ton petit spectacle d’égo, c’est bon? » qui ne berne sans doute ni l’un ni l’autre.

Ses doigts se permettent d’attraper l’avant-bras du plus jeune, de le faire pivoter vers lui, pour l’immobiliser, pour instaurer ce mensonge qui ne dupe aucun des deux, qu’il domine son vis-à-vis. Mais bon… plutôt crever que d’avouer qu’il l’estime, même un peu. Il tire légèrement sur ce bras, dans un rauque et grognon. « Je sais que tu as de l’ambition. Si j’avais cru le contraire, je ne t’aurais pas embauché… » Non, c’est cet air de défi, ce visage arrogant qu’il avait osé lui présenter en dépit de sa tenue d’Adam, qui l’avait totalement subjugué, qui l’obsédaient encore à ce jour. De sa main libre, ses doigts s’étaient permis de narguer la gorge du plus jeune, de l’effleurer avec une certaine douceur, comme on examinerait une bête particulièrement intéressante… ou, dans son cas, aveux tactile de l’exaltation que lui fait ressentir le chinois. Parce que suivre son menton, sa nuque, c’est à peu près la seule douceur qu’il est capable d’offrir sans avoir à la justifier d’une insulte. « Et j’aurais franchis cette porte à la seconde même ou tu t’es permis de me faire la morale… petite peste. » Ses lèvres se pressent dans un sourire, son pouce suit la courbe de ses lèvres charnue, son ton est étrangement posé, caressant, il peut sentir son poitrail se compresser alors qu’il suit des yeux cette bouche provocante, celle qui a osé la défier. « Ma petite peste ambitieuse. » Cette fois, il s’incline légèrement vers lui, presse ses lèvres contre les siennes sans toutefois l’embrasser, il le nargue, le cherche… et surtout, il est incapable de faire preuve de franchise sans détourner le regard, comme si l’acte en soi était honteux. « ... Je n’ai jamais envisagé que tu serais mon larbin toute ta vie… je ne veux pas d’un bras droit, d’un sbire sans cervelle… je veux un successeur. » … Non, il le voulait lui. Haneul libère le bras de son hôte et se permet de laisser cette main glisser sur sa taille, se presser au creux de ses reins pour mieux le presser contre lui. Son souffle joue sur sa peau, il soupire. « Tu n’es pas faible. » Et ce compliment dit avec un peu trop de fierté, un le scelle d’un baiser. Sauf que cette fois, il s’autorise à franchir la barrière de ses lèvres, à laisser sa langue désireuse, exploratrice narguer la sienne. Il ne dit rien mais ce baiser est une confession à lui seul, il ne l’embrasse pas comme une pute, comme un jouet… il l’embrasse comme un égal et bordel, ce qu’il peut le désirer, dans chacun de ses atomes, ce partenaire… C’est que lui non plus, n’a jamais pu se reposer sur qui que ce soit.

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Mer 28 Aoû - 22:36

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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ~  « Mon égal? Tu m’en vois déçu. J’imaginais au moins que tu aspirais à me surpasser… après tout à un certain moment de ta vie, ça sera facile, je serai six pieds sous terre. » « Menteur, tu a s des standards tellement haut qu’être ton égal veut dire être au-dessus du monde entier. De plus, je ne peux pas te surpasser, je ne veux pas ton poste. C’est impossible. Et puis, on a que 13 ans d’écart, com’on... »

« … C’est assez euphorique comme fantasme ... » « Ce n’est pas un fantasme, ça sera la réalité. J’ai trouvé un nouveau but dans la vie. » Et vraiment, cette idée de se tuer à ses 30 ans s’il n’arrive à rien ne lui effleure même plus l’esprit. Il sait que les choses ont changé depuis que Haneul est dans sa vie. C’est lui qu’il veut changer. Il sait bien qu’il restera toujours l’homme de l’ombre, enfin, dans sa vie intime. Mais il va apprendre à briller aussi. C’est déjà le début. Les gens sont encore étonnés de savoir qu’il n’est qu’un étudiant en dernière année. C’est vrai qu’il n’a que 23 ans et qu’il fait plus mature avec ses attitudes de petit prince. Mais Haneul a changé la donne sur tout ça. Il veut le rendre fier, lui montrer que l’argent qu’il investit sur lui ne sert pas à rien. Non, il y arrivera et les Kang peuvent s’en doute l’emmener vers l’ambassade d’ici quelques années. Il doit être patient, mais il doit surtout bien jouer ses cartes. Et là, il a surtout l’air d’être un homme totalement amoureux. Même si rien n’est facile entre Haneul et lui.

Une fois à la cuisine, il frissonne un peu lorsqu’il se rend compte que son homme le suit au lieu de s’en aller, et ça le fait sourire. Il mordille sa joue et tourne la tête pour le regarder. « Tu as finis ton petit spectacle d’égo, c’est bon? » Son sourcil se hausse. « J’ai dû trop te regarder faire. Oops... » Qu’il dit dans un sourire en coin pendant que le plus vieux l’attrape pour le faire pivoter vers lui. Il se laisse faire, cependant, sans broncher et continue de le regarder intensément. « Je sais que tu as de l’ambition. Si j’avais cru le contraire, je ne t’aurais pas embauché… » « J’aime te le rappeler. » Qu’il souffle alors doucement vers lui, tout en collant son corps au sien, avec son air si fier, si arrogant. Ah, quand il commence à lui caresser la gorge, il pourrait damner tous les saints. Il aime cette douceur que Im Haneul peut lui offrir. Et il a assez d’égo pour se dire qu’il est le seul à recevoir ce genre de cadeaux. « Et j’aurais franchis cette porte à la seconde même ou tu t’es permis de me faire la morale… petite peste. » Il continue de le regarder, de le défier, son bassin venant chercher le sien par moment pendant que ses mains caressent son torse doucement. Il se lèche doucement les lèvres et du coup, le pouce de son homme qui les caressent par la même occasion. « Ma petite peste ambitieuse. » Entre ses mots et ce bref smack sur sa bouche, il se sent frissonner intensément. « La tienne... » murmure-t-il alors en chinois, faiblement, comme dans un soupir.

« ... Je n’ai jamais envisagé que tu serais mon larbin toute ta vie… je ne veux pas d’un bras droit, d’un sbire sans cervelle… je veux un successeur. » Un successeur ? Il a vraiment dit ça ? Les prunelles étincelantes de surprise et de bonheur, il le fixe alors et se colle à lui sans même demander son reste. « Tu n’es pas faible. » Lorsque la langue du plus âgé vient retrouver la sienne, ses bras se nouent autour de sa nuque pour le prolonger jusqu’à ne plus avoir de souffle. Et il en recommence un autre tout aussi rapidement. Il est accro à ses baisers, il le sait. Mais il sait surtout que Im Haneul n’embrasse personne ainsi. C’est sa façon à lui de montrer comme il tient à lui, et c’est sans doute ce qui enivre autant le jeune chinois. D’être l’homme. La personne. L’être à part. « Tu ne seras pas déçu... » Jamais, il veut le rendre fier, plus que tout au monde. Et dans un sourire tendre, amoureux, il vient lui caresser la joue. « Regarde-moi... » Il attend que Haneul lui accroche encore une fois, il lui caresse encore la joue doucement. Il aime tellement lorsqu'il le regarde en fait. « Même si personne ne peut comprendre, tu es ce qui m’est arrivé de meilleur depuis que je suis ici. » Et il ne dit pas ça pour gonfler l’égo de Haneul, il n’en a pas besoin, mais parce que c’est vrai. « Hana… sous-entend devant les Kang que l’on est peut-être en couple. Elle sait que c’est le meilleur moyen pour les approcher. Et pour le reste sans doute. » Même si, au fond, ça lui tord le ventre. « Et je sais que tu calcules les choses de la même façon qu’elle. » Alors… « Est-ce que...qu’on doit se mettre en couple ? Pour avoir une couverture médiatique, continuer à être un serpent qui s’invite partout ? Elle reste ta nièce quand même. » Il regarde ailleurs, puis lui. « J’ai… un peu de mal avec l’idée, même si tu vas me trouver débile et niais. Mais si tu me dis de le faire, je le ferai. Mais j’ai besoin de savoir où on se dirige avant la soirée du 15 pour que tout soit parfait. »  

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Im Haneul
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Im Haneul
Lun 2 Sep - 14:51

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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ~ Ses iris sombres se posent sur le visage de son attaché de presse alors qu’il tente de scruter son visage pour la moindre trace de moquerie. C’est que ses paroles ne font aucune sens à l’oreille aiguisée du plus âgé, il voit mal comment, à moins d’être pathologiquement masochiste, il peut être une avenue positive dans la vie de quiconque. Il a complexifié l’existence du chinois, il l’a attiré dans ses actes infâmes, contre natures, et il exige désormais de lui bien plus qu’une personne normale devrait avoir à endurer, il le sait… Pourtant, il n’arrive pas à détacher son regard de celui de son cadet, ses iris indéchiffrables rivés sur son minois alors qu’il encaisse cette confession avec une étrange acceptation. Sin, sans même le vouloir, sans même y penser, lui fait malgré lui accepter cette infâme chose qui existe entre eux, ce partenariat, cette drôle de relation à laquelle il n’est pas trop certain d’avoir droit. Ses phalanges choient sa gorge, comme un loup devant sa proie, alors qu’il souffle, avec l’ombre d’un sourire en coin. « Arrête de faire ton fragile... » Il a beau râler, il demeure calme, et il doit bien avouer que son battant se tords, se débat dans sa prison d’os et qu’il ne sait trop quoi faire de cette intensité, il ne peut que diminuer la distance entre leurs corps, se saisir de sa nuque en écoutant calmement ses demandes…

Haneul, il a longtemps décidé qu’un jour, il faudrait une femme au chinois, une épouse capable de l’élever, de lui faire gagner en grade ce que son sang lui refuse. Il s’y est non seulement résigné, mais préparé… il n’avait simplement jamais envisagé Hana. Mais sa nièce, cette vipère fourbe et pourtant totalement à sa botte, cette gamine brisée, elle semble la candidate parfaite. Il inspire, dégoûté à l’idée même, d’avoir à le partager, au moins cette créature-là, elle ne lui touchera pas. Haneul pince les lèvres, attire d’avantage son chaton contre lui dans un soupire un peu trop ludique pour la discussion franche qu’ils ont. « … Ce n’est pas une mauvaise approche… et Hana a … une facilité à lire les gens. Je crois que jouer le jeu est prudent et je me trouve moi-même surpris qu’elle l’ait proposé de son plein gré. » Il se demande bien ce qu’elle espère trouver dans ce partenariat, il va devoir enquêter. Ses iris suivent les traits du plus jeune, s’accrochent aux siens, il poursuit, d’une voix grave. « Précisément. Elle reste ma nièce. Ce qui en soit est une excellente excuse pour faire taire les vilaines langues qui pourraient penser que l’on passe trop de temps ensemble… et avec son prestige et sa diplomatie, ça pourrait bien faire oublier à certains crétins que tu n’es pas coréen. » Plus il y pense, plus il en parle, et plus ce plan semble béton. Il n’aurait pas pu espérer plus de la providence et, si tout va bien, il n’aura pas besoin de demander une faveur aux Kang. Il s’approche, coince Sin entre lui et le comptoir avec un air un peu trop joueur, son autre main retrouvant lentement sa place le long de son bras qu’elle descend en une longue caresse, comme pour lui faire avaler sa demande. « … Normalement, je ne te demanderais pas une chose pareille… mais vu le temps que tu as mis avant de me parler de tes soucis d’immigration… ça reste ta meilleure approche… le fiancé transit. » Un reproche à demi-mot, qu’il fini par taire d’un : « … Maintenant, fais toi pardonner. » avant d’emprisonner ses lèvres avec les sienne sans une once de retenue. Parce que ce soir, il compte bien lui remémorer sans mots, qu’il n’a qu’un seul maître, qu’il lui appartient, et que derrière les tabloïde et les ragots ou il sera associé à sa nièce, chaque fichue parcelle de sa personne est sa propriété exclusive.

© FRIMELDA

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