the kidney thief is in love with me.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Aaaaah le doux plaisir des soirées où on ne connaissait pas grand monde. Cette soirée où Bobby, à moins que ce ne soit Jacky ou François, avait décidé de vous inviter parce qu’il vous avait croisé une fois à Auchan et que vous avez échangé un regard complice en décidant d’acheter la même marque de bouteille de lait. Cette soirée où Jinhwa avait invité parce que ça faisait toujours un peu chic d’inviter une trainee ou au moins de dire qu’on la connaissait, ce serait sans doute encore mieux quand il serait idole, mais pour l’instant Jacky… à moins que ce ne soit François, avait décidé de dire qu’il le connaissait parce qu’ils avaient passé le même casting. C’était faux. Lui, il n’avait pas passé de casting, Jacky/François/Bobby non plus d’ailleurs. Non, ils avaient sympathisé dans un starbucks et en soit, c’était presque pareil qu’Auchan, sauf qu’ils avaient commandé le même café.
Enfin bref, tout ça pour dire qu’en comptant le type responsable de son invitation, il connaissait… bah que lui, pour faire court. Et s’il aurait tout aussi bien pu décliner et être un sage gamin qui se couche à une heure raisonnable, l’ennui, le besoin de sociabilisation autant que sa hantise de passer une trop longue nuit l’avaient poussé jusqu’ici où il avait appris qu’un homme, que nous nommerons Jean, fêtait son 26ème anniversaire « Mazel Tov ! » c’était ce qu’il avait dit pour le féliciter. Un peu con, parce que s’il avait su, il lui aurait ramené un cluedo ou au moins quelque chose pour faire un peu cadeau. Mais bon.

Il buvait un verre d’ananas grenadine, comprendre ici une bière mais si la police passait par là valait mieux préparer le coup, quand son regard s’était posé sur lui.
Le goulot qu’il levait vers ses lèvres s’était figé dans l’espace pendant de trop longues secondes avant de s’éloigner loin de sa bouche plutôt que de s’en rapprocher. Le fruit de son imagination. Certitude ou doute. Ce qui était certain, c’est que tout s’était figé dans son esprit et son imagination avait reproduit ce rire qu’il avait si souvent entendu gamin.
Est-ce qu’il devenait fou ?
Est-ce que son imagination lui jouait une fois de plus des tours pour commencer un manque ?
Ou est-ce que c’était vraiment lui ?

Sans vraiment y penser, il avait fait quelques pas dans sa direction. Il s’était arrêté près d’une table, à un groupe de lui. Un instant, leurs regards s’étaient sans doute croisés, et il avait détourné les yeux vers le mur le plus proche.
Le suivant, il reportait son attention sur lui, sans rien dire.
S’il pouvait commencer à avoir l’air flippant, ça avait dû être quand il avait fait quelques pas pour s’en rapprocher en le voyant s’éloigner.
Il lui ressemblait tellement.
Pourtant… combien est-ce qu’il y avait de pourcentage de chance pour que ce soit vraiment lui ?
C’était sans doute plus proche d’un 10 pourcent que d’un 80 non ?
Alors soit il le confondait.
Soit il virait simplement fou et l’hallucinait.

L’homme était entré dans la cuisine.
Quelques secondes plus tard, il en faisait de même. Mais quand il s’était inévitablement retourné, il avait prétexté chercher avec le désespoir « Ah ! Y’en a encore ! » … un paquet type curly qu’il avait ouvert avant d’en mettre un dans sa bouche.
Sérieusement Jin Hwa ?
A ce rythme, le pauvre type va soit penser que t’as eu un coup de foudre et que tu veux jouer au Docteur Maboul avec lui dans une chambre libre.
Soit que tu veux l’endormir pour lui voler un rein.
Tu sais que c’est flippant ? Surtout quand, par dessus tes curly, tu lui lances parfois un regard sans pouvoir t’en empêcher.
ça ressemblait juste à lui… avec 6 ans de plus…
Il ne le rêvait pas non ?

. one day maybe, we'll meet again.
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ce soir était censé être une de ces nuits sans projets, mais l'oiseau de nuit qui s’ennuie en a décidé autrement. de cette décision prise sur un coup de tête, celle de s’incruster à une fête à laquelle il n'était pas convié - du genre "j'ai vu de la lumière, alors je suis rentré -, il est devenu l'intrus qui ne connaît pas la moindre personne présente dans la pièce et encore moins l'organisateur de la soirée. et pourtant, il se fond dans la masse ; il se mélange à toutes les personnes présentes qui souhaitent seulement passer une soirée réussie en compagnie de leurs amis ou encore d'étrangers capables de faire oublier le temps d'une seconde que demain approche à chaque seconde filante et que cette nuit n'est qu'éphémère. kyung ho, il est de ceux-là. de ceux qui veulent oublier demain pour profiter d'aujourd'hui, profiter des quelques heures restantes avant que le jour se lève. il sourit, rit, s'amuse, s'égare - se perd dans l'euphorie du moment et l'amusement de l'instant. qu'importe si les enceintes crachent la musique avec tellement de puissance que cela lui déchire les tympans, qu'importent les désagréments pouvant survenir à long terme. appuyé contre un mur, en écoutant d'une oreille sourde les paroles d'une personne lui étant inconnue qu'a décidé de lui faire la discussion pour passer le temps, il est bien. quelquefois, il hoche la tête. d'autres fois, il boit une gorgée du liquide remplissant son verre en lançant quelques coups d’œil à celui lui tenant compagnie. une écoute mensongère, une ouïe bouchée par le désintéressement, sauf que ça le fait marrer de voir cet inconnu - dont il ne se souvient même plus le nom - lui parler avec tellement d'entrain, tellement de passion dans le timbre de sa voix qu'il ne peut même pas le couper. et ça, même s'il a abandonné depuis un moment de suivre le fil de la conversation. il donne juste l'air de s'y investir avec quelques sourires au coin et quelques onomatopées lâchées pour laisser croire qu'il sait de quoi il lui parle. mais la sensation désagréable d'être observé commence doucement à se faire ressentir au plus profond de son être. peut-être est-ce juste lui qui devient paranoïaque à se sentir soudainement épier. cependant par curiosité, il lève quand même les yeux pour balayer la foule du regard à la recherche d'un individu le surveillant. jusqu'à ce que ses prunelles croisent celle d'un étranger le fixant de loin, un regard fixé sur lui le rendant légèrement mal à l'aise. pourtant, il se décide à simplement l'ignorer, espérant que celui-ci se lasse de le regarder, et fait semblant de se replonger dans sa discussion à sens unique. néanmoins le sentiment persistant d'observation continue de se faire ressentir, à tel point qu'il commence à s'interroger sur les intentions de ce type. tellement perdu dans ses pensées à l'égard de ce guetteur, il sent à peine son téléphone vibrer dans la poche de son jean l'informant d'un message. kyung ho se décide alors finalement à interrompre son interlocuteur avec une excuse vague afin de se couper de la pièce festive pour se réfugier dans la cuisine, au calme et ainsi sortir son téléphone pour répondre à celui qu'a tenté de le contacter. mais avant même qu'il ne puisse lire les premiers mots du message, des pas résonnent derrière lui indiquant une nouvelle présence. se retournant pour savoir qu'il la rejoint, il n'est même pas surpris de découvrir que c'est le même type qui le fixe depuis tout à l'heure. il le voit se jeter sur le paquet de curly avant même qu'il n'est pu ouvrir la bouche pour dire quelque chose. « okay. » qu'il lâche, perturbé par son comportement étrange. dire qu'il ne se sent pas particulièrement à l'aise est un euphémisme ; il est à la limite de se dire que ce type veut lui voler un rein, sérieusement. son instinct qui lui souffle qu'il ne va clairement pas être fan de la terminaison de cette rencontre. malgré tout, il tente la sympathie en revêtant son plus beau sourire pour découvrir la raison de ses agissements. « je peux t'aider ? » la demande presque un peu trop douce, un peu trop méfiante. tout lui indique de prendre la fuite, surtout qu'il est plutôt doué pour fuir, mais n'écoutant jamais sa logique il reste planté devant lui en priant silencieusement que ce gars ne veuille pas le kidnapper pour revendre ses organes. allez, il ne peut pas avoir un karma aussi pourri que ça quand même.

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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Ce n’était probablement que dans sa tête.
Une impression.
Un vague air de ressemblance et son imagination faisait le reste.
ça allait faire combien d’années maintenant ?
6 ans… ça faisait 6 ans qu’il ne l’avait plus revu.
Pourtant, là, avec son paquet de curly dans les mains, il lui trouvait plus qu’un simple “vague air” de ressemblance.
Est-ce qu’il déraillait ?
Est-ce que le fait de ne plus parler à Dae Hyun lui faisait voir des choses ?
Est-ce qu’il se transformait en grand sensible qui cherchait partout traces des grands frères du passé.
Deux. Il n’en n’avait eu que deux.
Dae Hyun. Avec lequel il était parti.
Kyung Ho. Qu’il n’avait plus jamais revu… et qui ne se trouvait certainement pas dans cette cuisine. Alors autant arrêter de faire flipper les honnêtes citoyens de ce monde et reprendre sa soirée avant que quelqu’un n’appelle la police.
Quelques gorgées de sa boisson, un curly pris entre ses doigts, et ce crétin lui tendait finalement le paquet dans un « T’en veux ? » un peu abrupte, très sorti de nul part « C’est à la cacahuète. » ??? hein ???? « Y’a beaucoup de gens qui sont allergiques à la cacahuète. Et toi ? »

Tu nous fais quoi là Stacy ?
…
Il essayait simplement de le faire parler. Le timbre de sa voix que l’homme venait de lui offrir en quelques mots, il ne l’avait pas assez entendu.
Celui de Kyung Ho, il l’avait entendu plus souvent en étant gamin. La sienne, à l’époque, il la faisait bien moins entendre que cet abruti qu’il était devenu et qui proposait des soufflés à la cacahuète en laissant son regard fixé sur un visage trop familier pour qu’il quitte cette cuisine.
Il avait exactement la même gueule.
Ou presque.
Avec 6 années en plus.
Disons qu’il avait la gueule d’un Kyung Ho 6 ans plus tard…
Alors, où était le problème ? Pourquoi ne pas lui demander tout simplement son prénom ? Il n’avait pas assez bu pour être aussi stupide quand même ?

« J’ai connu un type qui était allergique à la banane. » … ok, arrête l’alcool, faut clairement avoir abusé là « C’était triste. » oui, c’était triste d’être allergique à la banane. C’était encore plus triste d’être à une soirée et de se faire suivre par un type qui semblait faire une fixette sur plusieurs choses.
La cacahuète et nous… voir notre rein.
“C’est quoi ton nom ?” … ça faisait très gamin de maternelle, mais franchement, ce n’était pas pire que maintenant.
“Moi c’est Park Jin Hwa. Et toi ?” Il pouvait aussi le tenter de cette manière.
Il y avait aussi la lourdeur et l’étrangeté inenvisageable de sortir la réplique “out of nowhere” - quand on y pensait, ça resterait dans le thème - en lui avouant de but en blanc “J’ai connu un Kyung Ho une fois”.
Ou il pouvait tout aussi bien faire preuve de franchise et lui dire qu’il ressemblait plus qu’un peu à un ami qu’il avait eu dans son enfance. Il ne l’avait pas revu depuis de nombreuses années… mais il lui ressemblait au point que, s’il ne s’appelait pas Kyung Ho et qu’il n’avait pas de jumeau, il devrait peut-être s’inquiéter d’avoir un frère dont il n’avait pas connaissance.
Il les envisageait ces répliques, son paquet de curly tendu vers un étranger. Il les envisageait ces méthodes-là tandis que son regard analysait toujours les traits d’un visage.
C’était un peu gros… que son imagination parvienne à une ressemblance si frappante non ? C’était au mieux son sosie et pas un message de son subconscient qui essayait de lui faire ressentir les effets du manque….

. one day maybe, we'll meet again.
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malaise palpable dans la pièce étroite ; kyung ho ne se sent pas à son aise. ses yeux fixés sur cette silhouette ne lui étant qu'inconnue, qui semble refuser de quitter la cuisine pour se dérober à cette situation plus qu'étrange. ce type persiste à rester à ses côtés tout en déblatérant des phrases sans sens, mais prononcées avec tant de naturel que cela ressemble presque à une conversation banale. kyung ho, il n'y comprend rien. il n'assimile pas totalement les mots énoncés, son cerveau qu'est dans une incompréhension totalement. est-ce qu'il la suivit jusque dans la cuisine pour lui demander s'il aime les cacahuètes ? ça semble encore plus suspect comme comportement. et pourtant, il ne se décide toujours pas à fuir loin pour l'esquiver. les raisons le poussant à rester à la place de s'enfuir, en cherchant une excuse pour retourner à la fête se déroulant dans la pièce d'à côté ou même pour repartir vagabonder dans les rues de séoul - être, dans tous les cas, loin de lui. -, lui sont encore inconnues. il persiste juste à rester en le regardant d'un air suspicieux. certainement parce que sa curiosité est plus forte que tout, son envie de comprendre ce qui lui veut dépasse toutes les appréhensions que lui inspire sa présence. veut-il lui voler un rein, pour le revendre à un prix fort sur le marché noir ? ou veut-il le séduire pour réussir à obtenir son numéro de téléphone ? oui, kyung ho, il ne peut qu'envisager ces deux possibilités. il ne s'imagine que ça de possible tellement la situation lui paraît étrange. peut-être que le fait de sentir son regard fixé sur sa personne depuis autant de temps n'aide pas à la formation d'hypothèses raisonnables dans son esprit un peu trop imaginatif. dans tous les cas, il n'a pas une confiance sans fin en cette affaire, malgré une émotion inhabituelle naissante au creux de son estomac, des sentiments du passé qui refont surface sans qu'il ne comprenne. comme si les traits marquant le faciès de l'étranger ne lui étaient pas totalement inconnus, comme s'il les avait déjà aperçus au moins une fois dans son existence. cette personne avec son paquet de curly lui semble aussi inconnue que familière. et ça, ça le perturbe plus qu'il ne le laisse paraître. « non, je suis pas allergique à la cacahuète. » dit-il finalement pour lui fournir une réponse à ses divagations. à l'évidence, il devrait mieux fuir au lieu de converser avec lui sur ses goûts en matière de cacahuètes. sauf que kyung ho réfléchit rarement avant d'agir ou de parler ; son cerveau est éternellement coincé en mode off lorsqu'il s'agit de suivre un raisonnement logique - même pour sa survie. ses mains glissent dans les poches de son jean tandis que son regard dérive jusqu'au paquet qu'est tendu en sa direction. « mais non, j'en veux pas. » ses épaules se haussent dans un mouvement souple avant que ses opales sombres se replongent dans les siennes. il affiche un air trop serein face à tout cela, et ce malgré toutes les hypothèses farfelues que s'imagine sa cervelle en alerte. il y a cette petite voix qui lui demande ce qu'il fiche encore là à discuter comme si de rien n'était lorsque ce type est plus que louche, cette voix qui résonne en tentant désespérément de lui faire entendre raison. mais une voix de la raison qu'il n'écoute pas une seule seconde, qu'il fait taire pour l'effacer complètement. kyung ho ne se laisse pas guider pas la logique, il se laisse animer par son instinct. et autant il ne sent pas cet échange aux tournures plus que surprenantes, autant il se demande s'il ne doit justement pas persister à rester pour découvrir ce qui lui veut véritablement. car il est certain qu'il ne le fixe pas depuis un moment allant jusqu'à le suivre pour discuter de ses goûts alimentaires. le brun ne sait pas ce qu'il attend de lui : peut-être qu'il ne désire rien de plus que parler avec quelqu'un lors de cette soirée - même si ses méthodes sont plus que douteuses se rapprochant plutôt de quelqu'un qu'a craqué pour une autre personne que quelqu'un tentant de se faire un pote. « c'est bon la banane. » tentative maladroite de continuer cette conversation pour obtenir la révélation de son véritable objectif, il donne l'air d'être aussi bizarre que la personne lui faisant face. et ça, en affichant, en plus, un sourire idiot sur ses lèvres.

the kidney thief is in love with me.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Est-ce qu’il y avait des films d’horreur qui commençaient comme ça ?
Des films où on proposait des biscuits apéritifs à la cacahuète à un type qu’on venait de fixer de trop longues secondes, voir minutes, à un type qu’on avait même suivi dans une cuisine.
Est-ce que son attitude avait de quoi inspirer les plus grands maîtres de l’angoisse ?
Pour parler franchement Jin Hwa, oui, t’es un peu creepy. Tu ferais mieux de lui sortir le grand classique de drague employé depuis des années par tous les séducteurs débutants qui ne savaient pas innover, le « on ne s’est pas déjà vus quelque part » - marche aussi avec « on se connaît non ? » - avec ça, dans le pire des cas, il te répond qu’il n’est pas de ce bord là ou que tu n’es pas son genre. Ou alors il te propose de louer une chambre dans un motel et là tu te sentiras potentiellement un peu con.
Un peu comme il aurait dû le faire maintenant avec son paquet de biscuits apéritifs tendu davantage à la mention de non allergie. Une vaine invitation manifestement puisque le paquet n’avait perdu aucun gramme lorsqu’il l’avait ramené vers lui « Tu préfères le goût bacon ? J’crois que y’en reste aussi…. » mais tu vas foutre la paix au monde avec tes crackers ?
Personne n’en voulait jamais, il ne comprenait pas… ou plutôt il ne l’aurait pas compris si ceci n’avait été que pure connerie et pas tentative d’analyse.

Il était là, comme un benêt, à lui proposer du salé, à guetter ses réponses pour entendre le timbre de sa voix… et prenez-le pour un fou ou non, mais elle lui ressemblait quand même vachement à celle de Kyung Ho. Oui, même quand il lui répondait que c’était bon la banane, il avait la même voix. Et puis, déjà à l’époque, Kyung Ho aimait bien la banane, il lui semblait bien en tout cas.
???
Pardonnons l’égarement de sa réflexion. Pardonnons lui aussi pour fixer toujours un homme qui ne demandait sans doute pas mieux que de comprendre s’il avait à faire à un homme fou d’amour pour lui ou à un psychopathe. Ce n’était pas tellement de sa faute, le sourire qu’il voyait sur le visage qu’il lui faisait face, il lui ressemblait aussi à celui qui portait un prénom qu’il aurait été bien incapable d’oublier malgré les années « J’ai connu un type une fois. » comme tout le monde… « Il s’appelait Kyung Ho. » …
Il ne voulait pas seulement se montrer plus clair ?
… si c’était l’effet de son imagination, un espèce de mirage créé par son subconscient, le type hausserait les épaules ou aurait une toute autre réaction proche du « rien à foutre ».
Mais si c’était Kyung Ho. Son Baek Kyung Ho… alors le fruit apporterait la révélation de la conversation la plus anodine – certes un peu étrange – qui soit.
… c’était pas si con que ça… et c’était presque étonnant venant de lui.